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  • Photo du rédacteurLes Petits Pas

La non-violence éducative

Le terme de non-violence éducative apparaît en 2004, lorsque Catherine Dumonteil-Kremer, alors pionnière de la parentalité positive instaure la journée mondiale de la non-violence éducative. Autrefois appelée la Journée contre la fessée.

La non-violence éducative est un sujet qui touche tant les parents que les professionnels de la petite enfance. L’éducation des enfants est un long chemin, rempli de bonheur mais qui apporte aussi son lot de difficultés. Lorsque la bienveillance et la joie s’entremêlent à la crise et à l'énervement, il s’agit alors de prendre du recul et d’éviter les situations de tensions et de frictions.

Chaque parents et professionnels de la petite enfance se doivent de s'inscrire dans une démarche d’éducation respectueuse, et non violente.


Que dit la loi ?

« L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. » Article 371-1 du Code civil.

LOI n° 2019-721 du 10 juillet 2019 relative à l'interdiction des violences éducatives ordinaires


Le rôle du parent ou du professionnel

Il tient du rôle du parent ou du professionnel de repérer le moment lorsque la situation avec l’enfant devient compliquée et peut conduire à l’énervement. Ces situations peuvent être fréquentes notamment lorsque la fatigue et l’épuisement se manifestent.

La non-violence éducative représente alors le fait de chercher les solutions les plus adaptées aux problèmes liés aux situations rencontrées. En commençant par reconsidérer l’enfant dans son rôle d’enfant. Il ne faut pas oublier que l’on ne s’adresse pas à un adulte, qui nous comprend parfaitement. Mais bien à un enfant, qui parfois n’a même pas encore acquis le langage.

« Si les enfants ne sont pas les égaux des adultes, ils ont pourtant droit au même respect de leur dignité. »

David Dutarte, militant de l’éducation non-violente


Pour ne jamais arriver à la violence éducative

Car des solutions sont possibles pour empêcher la violence éducative, voici plusieurs options envisageables :

  • Passer le relai

  • Être conscient de l’effet punition sur l’enfant

  • Traiter l’enfant comme on voudrait être traité

  • Chercher des solutions gagnants-gagnants avec l’enfant

  • En parler autour de soi

Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d'une situation de maltraitance d'un enfant, un numéro existe, le 119.



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